Les joies d’internet

J’ose espérer qu’aucun de vous n’est concerné, mes chers petits, mais cet article de Libération met deux ou trois petites choses au point.

Pour ceux qui ne l’ont pas compris, je rappelle ce qui devrait être une évidence pour tout le monde.
1) Tout ce que vous diffusez sur le web, même sur un compte social verrouillé, finira par être librement visible par tous. Cela prendra à peine quelques heures s’il s’agit d’image un peu olé-olé.
2) Tout ce que vous consultez sur le web est traçable et enregistré.

J’en profite pour une petite séance de médisance sur ma cible favorite : tout ce que vous déposez sur un site social dont le nom commence par face et finit comme une chèvre est, par contrat tacitement approuvé par vous lors de l’ouverture de votre compte, propriété intégrale et définitive du site. Vos photos, vos poèmes, vos machin et vos trucs, sur face de chèvre ne sont plus à vous. Et dire qu’il y a des collègues qui y mettent leur cours !